Journal de bord du Directeur de l'Institut Thao

Mercredi 12.
Les traveaux de la résidence principale sont enfin achevés, nous avons pu visiter les locaux ce matin. Asticieusement faite, cette demeure... d'un point de vue extérieur, elle ressemble à n'importe quelle maison de redressement possédant en plus une aile pour les jeunes « malades mentaux » que nous sommes censés accueillir en plus des déliquants. De l'intérieur, c'est une maison apparement faite pour abriter de nombreux adolescents, composée de tout ce qu'il faut pour leur bien être et de dortoires faciles à surveiller. Je suis réellement étonné par la facilité avec laquelle ils ont réussit à dissimuler la partie la plus fondamentale de l'institut Thao. L'équipe est absolument ravie, et tous sont pressés de pouvoir commencer leurs recherches à présent que plus personne ne peut les empêcher de procéder à leur guise.
Nous accueillerons nos premiers patients en juin, j'ai hâte.





Lundi 18.
Les avancées de mes collègues sont spéctaculaires. Loin des brides morales et éthiques de leurs anciennes institutions, il font des progrès concidérables dans les domaines qui leur sont propres, et les premières publications de résultats sont prévues pour Avril de l'année prochaine.
Du côté des pensionnaires, tout est calme. Une seconde fournée de patients est attentue pour la fin de ce mois, je crois qu'aucun d'eux n'a pour le moment saisit la véritable raison de leur présence ici.





Samedi 28.
Il y a actuellement 124 patients à notre charge, filles et garçons confondus. 34 déséquilibrés mentaux, 69 repris de justice et 21 adolescents reniés par leur famille. Ils se mélangent peut, communiquent encore moins entre leurs différents groupes et ne se soucient aucunement des premières disparition ayant lieux dans leur rangs.
Nous avons déjà trois décès et deux pertes de raison grave.





Jeudi 14.
Nous avons rencontré nos premiers problèmes aujourd'hui. L'un des patients s'est enfuit des laboratoires. Nous ne savons pas encore exactement ce qu'il s'est passé, mais la salle est un véritable champ de ruine. Le scientifique qui s'occupait de lui n'à pas encore reprit connaissance, mais les notes sur ses recherches nous apporte un début de réponse des plus intéressant...





Lundi 18.
Le garçon est mort. Cerveau éclaté. Nous avons dans l'idée que le produit injecté par le chercheur est la cause de son décès. Mais le peu que nous avons pu apprendre avant sa mort confirme mes espoirs.





Mardi 15.
Sur nos 300 pensionnaires du début d'année, 93 ont trouvés la mort, 19 sont devenus fous, nous avons rescencés 13 suicides, 38 tentatives de fuite, et une bonne quarantaine de viols et agressions diverses, que ce soient de la part des scientifiques sur les patients, ou les patients entre eux. C'est étrange comme la proximité et le renfermement peuvent faire ressortir les instincts animaux des gens...
En dépis de cela, nos recherches avancent bien. Un autre des patients à montré des symptômes encourageant, et une fille développe des dons particulièrement intéressants...
Il faut que nous prenions des mesures suplémentaires pour parer à d'éventuelles crises. Je pense que des traveaux s'imposent dans les bâtiments.





Soirée du 31.
15e jour de tempête. L'institut connaît une sorte de trève depuis Noël, les patients, tout comme mes collègues, semblent vouloir profiter de la période des fêtes de fin d'année pour se détendre un peu. Pour ma part, je viens de terminer le bilan annuel et les publications trimestrielles. Le travail abatut en trois ans est absolument incroyable. Si l'on ommet des incidents liés à l'instabilité des dons développé par certains des patients, et le renvois (de manière brûtale et définitive) de quatre de mes collaborateurs, le bilan est plutôt possitif : huit de nos cobays présentent une stabilité nette de leurs pouvoirs et une docilité quasi parfaite. Tous seront envoyés au département militaire du gourvernement. Notre travail porte enfin ses fruits.





Dimance 12.
Les syndrôme Ezleur.
Voilà le nom que nous avons donné à ces capacités étranges que développent certains patients lorsque le scientifique du même nom leur injecte le produit qui à causé la mort du premier fuyard de l'institut. Imprevisibles, ils apparaissent de manière chaotique chez les différents patients, chacun d'entre eux ayant des causes et des conséquences complétement différentes d'un individu à l'autre. Lors de la première phase de développement, il est absoluement impossible de prévoir quand et comment se manifesteront les nouvelles capacités des adolescents, ce qui provoque souvent des situations plus ou moins génantes pour nos services. Heureusement, les nouvelles installations dans les bâtiments étouffent de manière particulièrement efficasse les explosions et autres bruits intempestifs que ces dons incontrôlables pourraient provoquer.





Lundi 20.
C'est officiel. Notre institut vient de passer du grade de « nationnal » à celui « d'internationnal ». A partir de Septembre 2012, en plus des patients français, nous acceuilleront donc des patients étrangers de tous âges et toutes conditions sociales, ce qui portera notre effectif à 500 adolescents, filles et garçons confondus. Nos huit cobays à maturité complète semblent avoir convaincu, et nos crédits ont été doublés, voir triplés pour certains départements de recherche. Nous allons continuer nos expériences dans tous les dommaines, mais les plus importantes seront réalisées dans le domaine de la stabilisation du psychisme et du mental des patients développant le syndrôme Ezleur.





Vendredi 01.
Nos nouveaux laboratoires sont prêts, ainsi que les nouveaux locaux. La résidence est maintenant transformée en bâtiment principal, et des pavillons ont été dressés dans le parc, puis séparé en quartier, permettant une meilleure surveillance de nos patients. Nous pouvons accueillir nos nouveaux arrivants...





Lundi 14.
Nous recontrons nos premiers vrais problèmes : Avec l'arrivée de nouveaux patients de tous horizons, des clans et des bandes semblent s'être formées. Le Docteur Véréna se penche sur la question, mais il est vraissemblablement évident que les différences culturelle et les conditions de vie ont poussées ces jeunes à la base civilisés (enfin, pour les moins violents de nos patients) vers une régression sociétaire, les menant à se recréer une hiérarchie. D'après les informations de Véréna, les meneurs de ces bandes reproduisent à plus petite échelle les brimades et la manière d'être de nos scientifiques, allant jusqu'à obliger les plus faibles à se prostituer pour pouvoir manger.
A partir de demain, je vais faire en sorte que la nourriture ne soit plus distribuée équitablement. Elle sera déchargée en place publique durant la nuit, et réduite de moitié. J'ai hâte de voir comment la situation va évoluer...