Pavillon de Nanara Mitsuo, Nakatsu Haruka, Litinae Mya et Shiro Kamui.

Tard dans cette nuit noir est glaciale les couloirs son calme dénué de vie dans la maison des horreur je nommerais Thao. Une brise assez fraîche parcours les petits recoin de ce grand bâtiment et ont pourrait penser que des gens passe dans ses couloirs aux bruits que la petite brise fait en s’engouffrant dedans. D’ailleurs un bruit minuscule se fait entendre dans l’un d’eux dessinant une fine petite silhouette. On peut y voir un petit être en large t-shirt marcher prudemment dans ce couloir d’un pat méfiant et terrifier.

Le jeune Makenshi avais fait un Horrible cauchemar. Ne connaissant pas grand monde à par quelque personnes. Il déambule dans se couloir a la recherche de la chambre de celui qu’il considère comme son père. Le Grand Haruka. Cherchant des yeux partout la porte exacte il sursaute aux moindre bruit les membres glacer par la fraîcheur des couloirs. Il s’arrête alors devant une modeste porte pas plus différente des autre mais avec les noms graver dessus. Il pose doucement sa main sur la poignet rassurer d’avoir enfin pus trouver la chambre.

Il pousse alors délicatement la porte pour y passer la tête et y observer l’intérieur. Quelque ronflement et respiration se font entendre à l’intérieur mais une chaleur agréable le pouce a entré sans bruit. Il referme doucement la porte derrière lui et regarde les lits apercevant des couettes qui se redressent doucement aux rythmes des respirations. Il cherche Haruka des yeux quand il le voit dans un joli lit. Sûrement en compagnie de Mitsuo alias Nii-san pour ce petit Makenshi.

Ravalant doucement sa salive il fait sortir Yamashi de son t-shirt pour qu’il aille se cacher prêt des tuyauteries. Makenshi décider a oublier son cauchemar se glisse doucement dans les draps prêt d’Haruka de manière tellement douce qu’il ne fait pas du tout bouger le lit. Il se cale contre celui qu’il nomme papa et le regarde un peut dormir avant de fermer les yeux contre lui tremblant encore un peut du cauchemar précèdent espèrent qu’il ne va pas déranger de sa présence dans cette chambre.


** ici... Makenshi ne risque rien ... **

Haruka partageait son petit pavillon avec trois autres personnes parmi lesquelles son chéri, enfin son petit ami, enfin son amant, bref… Mais il y avait aussi Liti et Kamui. Bon ça lui avait fait bizarre au départ de devoir partager sa chambre avec une fille. Il avait fallut s’adapter mais au final tout le monde s’entendait plutôt pas mal. Le seul petit hic dans l’histoire c’était qu’il n’y avait que des lits individuels dans la grande chambre. Quoi que ce n’était vraiment pas un petit hic vu que MItShu et lui s’étaient rendu compte que c’était beaucoup plus drôle d’être à deux dans un lit une place plutôt que dans un lit deux places. Bon il fallait juste choisir le moment pour les câlins un peu plus intimes et bruyants parce qu’avec les deux autres à côté… Perso, il aurait préféré Makenshi à la place de Kamui mais bon c’était juste son avis personnel et il ne l’avait dit à personne. Pour cette nuit, Haruka et MitShu dormaient chacun dans son lit. Ca faisait du bien de temps en temps d’avoir son lit rien que pour soit. Il dormait donc tranquillement quand tout à coup quelque chose se mit à trembler contre lui. Mais qu’est-ce que c’était que ce bordel ?

*MitShu est venu dans mon lit tout compte fait ?*

Sans vraiment vérifier qui était réellement dans le lit, Haruka posa une de ses mains sur le popotin de la personne qui était contre lui. Tiens ? Il était bien chétif ce postérieur. Il le tâta encore un peu avant de se décider d’entrouvrir les yeux et s’arrêta d’un coup. Ce n’était pas son chéri c’était Makenshi ! Mais qu’est-ce qu’il faisait là ? Haruka remonta sa main sur le dos du jeune homme et le lui caressa doucement, comme si de rien n’était. Bon alors ? Pourquoi est-ce qu’il était ici ? Il ne faisait pas orage, ils n’avaient pas regardé de film d’horreur alors la seule raison pour laquelle il était c’était parce que le pauvre petit chou avait sans doute fait un cauchemar. Bon ben ce n’était pas la mort qu’il vienne dormir dans son lit, ça aurait pu être pire, le petit lapin aurait pu arriver au beau milieu d’un câlin et se serait sans doute fait virer sans autre forme de politesse. Sans rien dire, Haruka se décala un peu pour laisser un peu plus de place à son petit Makenshi et le serra un peu plus contre lui pour le consoler.

"Ben alors lapin…" dit-il en esquissant un petit sourire et en essayant de garder les yeux ouverts. "Qu’est-ce que tu fais là ? Il t’est arrivé quoi pour que tu viens te réfugier dans mon lit tout chaud ?"

Makenshi se sentait tellement bien contre son « père » qu’il n’en calculait même pas que celui-ci lui tripote les fesses. En même temps c’était tellement habituel de se faire tripoter ici qu’il trouvait ça limite normale. La chaleur de ce lit était tellement agréable qu’il lui fallut du temps pour comprendre qu’Haruka s’était réveillé et lui adressait la parole. Aux bout de quelque minutes il ouvrit a sont tour les yeux sous la vois douce de son papa et le regarda avec un aire tout mignon comme si ont venais de le surprendre a faire une bêtise. Pour se justifier il posa sa main sur celle d’Haruka et posa un bisou dessus avec un aire désoler.

"Je…. J’ai fait un cauchemar…."

Ave toute les expériences que l’ont subissaient dans cet établissement on pouvait se permettre de faire d’horrible cauchemar. Le sien était assez banal, un cauchemar que tout le monde ferait dans une situation similaire. Un cauchemar sur la noyade comme d’habitude Makenshi avait très peur de l’eau c’était l’une de ses plus grandes phobies. Il se resserra donc contre Haruka pour être protéger du monde dans ses bras.

"Les hommes blancs… voulaient que je vive sous l’eau…"

Agripper a son papa complètement vulnérable et terroriser par les images de sa nuit il recommence donc à trembler contre monsieur Haruka qui était sortit de son sommeil pour veiller sur ce petit être sans défense. Alors que Yamashi tranquille sous son radiateur les observaient de loin d’un œil attendrit ce serpent aime son maître plus que tout au monde.

Les caresses d’Haruka étaient bénéfiques pour le petit Makenshi qui était tellement en manque de tendresse depuis sa plus tendre enfance. Il retrouvait en Haruka le sentiment de la protection qu’un père aurait du avoir pour lui et qu’il n’avait plus eu depuis longtemps. Le simple visage attendrit de son « papa » lui enlevais la moindre peur, comme si il purifiait son esprit de manière a ce que chaque démon de sa petite tête s’envole loin… très loin et qu’il ne reviennent plus. Il ferma les yeux aux quelque petits baiser sur son front heureux de ne plus être tout seul dans sa chambre glacial qu’il n’aime pas du tout. Loin du monde autrefois il l’avais partager avec Vaem sa chambre mais son bref souvenir… était un chat dans ses bras et un Vaem très presser qui lui demander de prendre soin de lui. C’était sa première rencontre avec se dénommer Vaem et ses penser lui redonna un peut plus le sourire il aime aussi beaucoup Vaem maintenant. Désormais rassurer de son cauchemar qui disparaissait doucement de sa tête il écouta la douce vois d’Haruka lui adresser la parole et a l’évocation de sa peur de l’eau il baissa les yeux honteux en se trifouillant les doigts.

« Je… je n’aime pas l’eau … »

L’eau le terrorisait au plus haut point c’est d’ailleurs pour ça qu’il ne prendra jamais de bain seul. Les expérience sur les jeune créant des peur de la moindre matière avait marcher a la perfections sur lui et il était dépendant de cette peur l’eau était l’un de ses pire ennemi. La pensé de l‘eau le rendait tellement triste et impuissant mais tout disparut doucement au contact de la main d’Haruka qui le chatouillais doucement comme pour lui remettre les idée en place. Il sourit en cachant sa bouche de ses main pour ne pas rire bruyamment et il se resserra ensuite contre Haruka en agrippent le tissus des main avec un joli sourire.

« Yamashi fait dodo… sous le radiateur ^w^…. Mais c’est un secret ^o^ »

Makenshi posa sa tête contre le torse d’Haruka après lui avoir fait un gros bisou et se serrer tout contre lui de son petit corps tout mince et fragile. 35kg c’est vraiment très fin pour son age d’ailleurs. Il était tout contre lui calmer de toute peur et complètement rassurer il aimerai rester a jamais dans cet état la... Il se sentait comme dans une famille et il aimais ça même peut être plus que vivre.

« Papa…. Tu partira jamais hein ?... Nii-san et maman non plus… ?

Mitshu Liti et Vaem aussi faisaient partie de la petite famille créer dans la tête de Maken. Un belle petit famille la maman le papa les deux frère et lui… une famille tellement belle dans sa tête qu’il l’idéalisait trop peut être... mais ce n’est pas vraiment sa faute il a tout de même perdu son frère dans d’atroces condition et son père n’était pas vraiment un exemple de paternité don les enfant rêve. C’est pour ça qu’il tenais a cette famille qu’il s’était imaginer lui-même comme la prunelle de ses yeux.

"Tu sais lapin," dit-il en lui caressant le nez avec son index, "on pourrait un jour aller se baigner où tu as pieds et tu grimperais sur mon dos. Ca te dirait ? On irait avec MitShu et les autres et on en profiterait pour faire un petit pique-nique."

Haruka chatouilla un peu Makenshi pour le détendre et en le voyant mettre ses mains sur sa bouche pour ne pas faire trop de bruit, le jeune homme ne put s’empêcher de venir les mordiller gentiment pour leur faire lâcher prise et entendre le rire du petit. Mais il arrêta se rappelant que les autres occupants de la chambre étaient en train de dormir. Il se contenta donc de câliner de nouveau son petit trembleur et lui demanda d’ailleurs où était son serpent qui ne le quittait jamais. Haruka esquissa un sourire quand tout content, son petit lapin lui dit que sa bestiole était sous la radiateur en train de faire dodo mais que bon au final, il fallait que ça reste secret. Il ne put s’empêcher de rigoler un peu, tout en bougeant un peu dans le lit pour être un peu mieux installé. Au fait, il l’avait trouvé om déjà ce serpent ? Il était arrivé avec ou bien il l’avait trouvé quelque part dans le Manoir ? Haruka ne s’en souvenait plus et puis bon, le reptile semblait gentil avec Maken, c’était l’essentiel, non ? Haruka dégagea une mèche de cheveux devant les yeux de Maken.

"Alors si c’est un secret, fallait pas me dire qu’il était là !" dit-il en riant. "Je risque de le répéter ton secret. Et dans ta chambre aussi il dort sous le radiateur ou avec toi, lapin ?"

Et Maken lui posa une drôle de question. Enfin deux drôles de questions. Qu’est-ce que c’était que cette question ? Haruka allait devoir faire attention à ce qu’il allait dire pour ne pas blesser son petit lapin. Il se contenta de lui sourire en lui donnant une petite pichenette sur le front, le temps qu’il puisse réfléchir à ce qu’il allait dire exactement. Il se doutait bien qu’un jour où l’autre leurs chemins allaient bien devoir se séparer mais peut-être pas pour toujours, peut-être pour une courte période, ou plus longue. Mais il savait qu’il ne pouvait pas le dire à Makenshi sinon le pauvre petit allait se mettre à pleurer, à paniquer et dieu sait quoi encore. Haruka couvrit bien le petit lapin de façon à ce qu’on ne voyait plus qu’une touffe de cheveux. Il laissa quand même assez d’espace pour que la pauvre petite chose puisse respirer. Ca serait dommage qu’il meure dans les bras de son papa. Ca serait dommage qu’il meure tout court en fait.

"Bien sûr que non lapin. On restera avec toi aussi longtemps que tu voudras de nous. Et maintenant fait dodo, je suis là."

Makenshi qui n’avais pas d’autre choix que d’écouter sont tendre papa, se laissa faire et se retrouva allonger sous une couette assez chaude et sur un matelas une douillet. Apaiser par les parole de cet homme qu’il idolâtre il sourit doucement derrière le tissus chaud de la couette qui le surplombait. C’est vrai pourquoi il doutait de ça ? C’était évident que personne ne partirait et le laisserai seul. Une famille ne se sépare jamais… du moins pas dans son petit monde. Content de ces paroles il se reprochât d’Haruka pour se caler contre lui comme si il voulait se fondre en lui pour être protéger et n’avoir peur de rien. Dans la pièce ont entendait les respirations de ses colocataires et le bruit du vent sur la fenêtre. La lumière de la lune laissait apparaître l’ombre des barreaux de cette fenêtre sur le mur face à celle-ci. Cette ambiance il en avait peur dans sa propre chambre, mais le faite de ne pas être seul et d’avoir papa à coté de lui le rassurait au plus haut point. Il commença doucement à s’endormir sous les caresses d’Haruka quand soudain il entendit un bruit sourd dans le couloir. Il se redressa d’un cou et fixa Yamashi lui faisant signe de la main de se cacher contre un tuyau. Son regard se dirigea ver la porte et il se blottit alors contre Haruka. Qu’allait-il se passer si les scientifique découvraient que Makenshi n’était pas dans sa chambre ? Il allait encore devoir subir des expériences bizarre et douloureuse ? Non il ne le voulait pas. Mais peut être que c’était son imagination… qui sait ?

Petit Makenshi prit de panique sous les bruits de pat dans le couloir ce mis a serrer ses mains contre Haruka. Le visage nicher dans son torse et des tremblements de peur inondant son pauvre corps déjà bien traumatiser par ce sentiment. Les pat résonnaient dans sa tête il n’entendait plus que ça. Quelque larme apparut dans ses yeux par le stresse d’être découvert ailleurs que dans sa chambre. Qu’avait il fait pour mérité ça ? Il n’en savait rien mais une chose est sur il en avait affreusement peur et redoutait le moindre moment ou il subirait encore une autre expérience.

« Papa…. »

Un petit appelle a l’aide, les bruits de pat le rendait fou et il tremblait de tout son être sans pouvoir s’arrêter. Il ravala régulièrement sa salive en essayant de se fondre dans le torse d’Haruka tellement il ne supportait pas le bruit dans le couloir.

[désolée pour le retard lapin >o<]

Haruka câlinait et berçait Makenshi pour que ce dernier s’endorme rapidement. MitShu allait sans doute un peu râler demain en découvrant que « son homme » avait dormi avec un autre que lui dans ses bras mais il allait comprendre vu qu’il aimait beaucoup le petit Maken lui aussi. Il regarda l’ombre des barreaux sur le mur et s’il avait été d’humeur joyeuse, et surtout s’il avait moins eu la tête dans le cul, il aurait fait des ombres chinoises pour faire rire le petit trembleur. Il faudrait qu’il y pense pour la prochaine fois tiens. Il faudrait aussi qu’il trouve un moyen pour que le jeune homme ait moins peur de sa chambre. Bon vu où ils se trouvaient, c’était normal à la base d’avoir peur, mais bon Makenshi pourrait un jour venir dans son lit alors qu’Haruka serait occupé avec son chéri et pas sûr que ça le fasse.

"Allez, maintenant on ferme les yeux et on fait un gros dodo, pas trop baveux si possible."

Haruka ferma les yeux, serrant le petit contre lui, avant de les rouvrir brusquement. Oh ? On faisait son petit tour de garde dans les couloirs ? Généralement ils n’ouvraient pas les portes pour vérifier si leurs pensionnaires étaient bien dans leurs lits, du moment qu’ils étaient tous présents le lendemain matin. Pourtant il fallait se méfier, on ne sait jamais. Comment est-ce qu’ils pourraient réagir en trouvant Makenshi ici, alors que ce n’était pas là qu’il devait dormir ? S’il le fallait, Haruka foutrait le bordel comme ça il serait puni à la place du pauvre petit. Mais bon, si on pouvait éviter de se faire pincer ça serait mieux non ? Le jeune homme caressa doucement la tête du petit trembleur qui se bouinait le plus possible contre lui, comme s’il voulait disparaître. Il fallait le rassurer à tout prix.

"Ca va aller lapin, ils sont en train de s’éloigner. Chuuuut." lui dit-il en le berçant doucement. "Tu voudras que je te raconte une petite histoire une fois qu’ils seront super loin ? Et t’auras même droit à une petite berceuse à la fin comme ça tu feras de beaux rêves avec moi dedans. Ca ne peut-être que de beaux rêves si je suis dedans, non ?"

Il caressa doucement le nez de Makenshi alors qu’on n’entendait pratiquement plus les bruits de pas. Ils étaient tranquilles pour au moins deux heures. De toute façon, dans deux heures ils dormiraient non ? Haruka songeait déjà au lendemain. S’il le pouvait, il allait se faire une petite sieste pour se remettre de sa nuit des plus mouvementés. Il valait mieux qu’il en face une parce qu’il savait que vu que son sommeil avait été troublé et que donc il allait avoir moins d’heures de sommeil au compteur, il allait être d’une sale humeur au réveil. La petite sieste allait non seulement servir à lui redonner un peu d’énergie mais aussi à le rendre d’une humeur un peu plus joyeuse. Bien qu’il serait plus joyeux s’il ne se trouvait pas ici.